L'arrivée à Québec
QUEBEC
Arrivée à Montréal - 23 Octobre - 14:30
-"Prenez mon téléphone ! faites le 011 puis votre numéro" ...
Une voix rassurante québécoise nous invite à contacter Stéphane qui n'est pas encore arrivé.
7h30 d'avion ont suffi à nous déconnecter de notre vieux continent auquel nous nous accrochions à l'aide de mots flêchés et de sudoku. Pourtant les haricots verts saupoudrés de noix de coco ainsi que les hotesses et stewarts, vêtus de tabliers marine façon bouchon lyonnais, nous signifiaient que nous devions abandonner notre fuseau horaire.
Une voix rassurante québécoise nous invite à contacter Stéphane qui n'est pas encore arrivé.
7h30 d'avion ont suffi à nous déconnecter de notre vieux continent auquel nous nous accrochions à l'aide de mots flêchés et de sudoku. Pourtant les haricots verts saupoudrés de noix de coco ainsi que les hotesses et stewarts, vêtus de tabliers marine façon bouchon lyonnais, nous signifiaient que nous devions abandonner notre fuseau horaire.
Une petite sieste aurait pu nous aider à faire le saut ... mais nous n'y parvenions pas. Alors, l'aéroport de Montréal étant proche, une pluie fine d'automne embua les hublots comme pour laver nos cerveaux encombrés de préjugés :
Oui, les Québécois sont des gens sympas et accueillants !
L'atmosphère sereine du grand hall apaise notre agitation intérieure. Personne ne nous importune ; la notion de temps se dilue. Est-ce le décalage horaire (6h00), l'attente de Stéphane pris dans une "congestion" (traduisez "bouchon") ? Nous troquons nos euros contre des dollars Canadiens et décidons de simplifier le calcul : 1 dollar = 1 euro, les taxes n'étant pas comprises dans les prix affichés.
Nous nous familiarisons avec la monnaie en achetant une carte de téléphone et en décompressant au bar. Soudain notre rayon de soleil illumine nos coeurs alanguis. Stéphane est arrivé. Il est là avec son sourire et il n'a pas changé.
Les 3 heures d'autoroute qui nous séparent de Québec nous permettent de remonter le temps, d'évoquer nos souvenirs communs. Puis, en un tour de ville, il nous ramène à la réalité ...
L'atmosphère sereine du grand hall apaise notre agitation intérieure. Personne ne nous importune ; la notion de temps se dilue. Est-ce le décalage horaire (6h00), l'attente de Stéphane pris dans une "congestion" (traduisez "bouchon") ? Nous troquons nos euros contre des dollars Canadiens et décidons de simplifier le calcul : 1 dollar = 1 euro, les taxes n'étant pas comprises dans les prix affichés.
Nous nous familiarisons avec la monnaie en achetant une carte de téléphone et en décompressant au bar. Soudain notre rayon de soleil illumine nos coeurs alanguis. Stéphane est arrivé. Il est là avec son sourire et il n'a pas changé.
Les 3 heures d'autoroute qui nous séparent de Québec nous permettent de remonter le temps, d'évoquer nos souvenirs communs. Puis, en un tour de ville, il nous ramène à la réalité ...
Québec apparaît,
Charmeuse, scintillante de mille feux.
Nous voici arrivée chez Stéphane, rue Saint Jean, au coeur de la ville.
L'arrivée à Québec
